le commerce : fibre nerveuse de l’humanité

Les cités maritimes ne peuvent vivre en autarcie. Elles ne peuvent produire toutes les ressources nécessaires à leur survie. le manque de place et la rareté des ressources font donc du commerce un lien essentiel dans le monde. commercer avec ses plus proches voisines est donc une nécessité vitale. chaque cité pallie ses besoins par le commerce. aussi entretiennent elles de petites flottes de commerce à leur service. ces flottes, le plus souvent composées de navire de surface, sont prévues pour couvrir de courtes distance. Dans la majorité des cas, elles sont destinées à commercer au sein même de l’archipel. quelques exception peuvent être perçues. Quelques bâtiments sont armés afin de gagner les archipels les plus proches et obtenir les denrées de première nécessité qu’il manque à la cité.

les flottes armées par les cités restent cependant peu importantes et visent des expéditions au cours desquelles les risques sont limités. la majeur partie des navires armés pour le commerce le sont par des entrepreneurs privés. Ces hommes ambitieux mettent toutes leurs économies dans une aventure hautement incertaines (il n’existe aucun système d’assurance). Le plus souvent, n’ayant plus de lieu de résidence, ils embarquent sur le propres navire et accompagnent les équipages jusqu’à ce qu’ils disposent d’assez d’argent pour s’établire dans un comptoir d’où ils pourront mener leurs affaires. Dans de nombreux cas, les navires sont achetés par un groupe d’hommes car trop cher pour être achetés individuellement. Leurs marins sont des hommes que plus rien ne retient à terre. ils sont sans famille, sans possession et souvent bannis ou poursuivit par la justice. Ce sont des hommes qui n’ont rien à perdre et tout à gagner. Car, s’il n’ont pas bonne réputation, ils peuvent rapidement mettre de l’argent de côté et s’enrichir.

À côtés de ces entrepreneurs indépendants, il existe une fédération des commerces. Cette organisation est un puissant groupe commercial mais aussi politique et militaire qui a déjà soumis plusieurs archipel à sa botte. Son but est d’obtenir un monopole sur les grandes voies de commerce. aussi n’hésite-t-elle à pas à utiliser tous les moyens pour arriver à ses fins. Les équipages de ses navires sont composés d’hommes d’expérience mais qui sont revenus à une vie plus stable que celle des petits commerçant. bien payés, ils disposent de terres et son souvent mariés avec des filles de petite bourgeoisie. De plus, les vaisseaux de transport de la fédération se déplace toujours en groupe de deux ou trois et sont généralement escortés par un destroyer (petit navire puissamment armé).



les archipels

A la surface 

La vie des hommes s’organise autour de nombreux archipels. Dans un premier temps, nous n’en décrirons pas en détail, préférant laisser libre-cour à l’imagination des MJ (il peut ainsi créer un monde qui lui plait). Il est cependant nécessaire pour la compréhension de tous que cette création soit bien préparée. Aussi je vous propose de vous poser une série de question : 

-A quoi ressemble la société de l’archipel ? (Classes sociales, nombre d’habitant…) 

-Quel est le régime politique (s’il y en a un) ? (Oligarchie, démocratie,…) 

-Quels sont ses principaux atouts économiques ? (Minerais, production agricole, carrefour d’échange commercial…) 

-(Eventuellement) quelle est sa position sur la carte du monde ? (Je n’ai pas encore fais de carte et n’en ferais peut-être jamais. Cela me permet de rendre compte de l’aspect flou qu’a le monde 

-Quels sont les secrets qu’il renferme ? 

-Quelles en sont les personnalités marquantes ? (et celles que les joueurs seront amenées à rencontrer au cours des scenarii) 

 

N’hésitez à me faire parvenir vos idées si vous désirez les soumettre à mon approbation ou me donner quelques suggestions. 

 

Des cités sous la mer 

Les établissements des hommes ne se limitent à la surface. Dans plusieurs endroits, les cités sous-marines ont été créées. Elles se trouvent généralement sur des hauts-fonds, proche de la surface afin de bénéficier d’un minimum de lumière du jour. Ces cités sont souvent peu peuplées mais bénéficient des dernières trouvailles technologiques afin d’améliorer la qualité de vie souvent médiocre. Leurs points fort économiques sont liés aux ressources sous marines ce qui explique leur établissement en profondeur. 

 

 



LE SEMIRAMIS 2

Le Sémiramis est un vaste sous-marin qui parcourt les mers à des fins commerciales. Cet imposant vaisseau est propulsé grâce à des batteries électriques constamment rechargées par l’action de petites hélices placées sur le fuselage du vaisseau. Il dispose de quatre capsules de sauvetage et d’autant de sous-marins de poche. En se qui concerne son aspect, on peut se rapporter à des films comme 20 000 lieues sous les mers ou Atlantis, l’empire perdu. Il peut embarquer jusqu’à une centaine d’hommes d’équipage et de passagers. Il peut également transporter plusieurs tonnes de matériel. 

 

Ce vaisseau a pour commandant Andrew Weaver. Celui-ci est plutôt jeune pour occuper ce poste (il a à peine plus de 30 ans).  Embarqué dès l’âge de 12 ans, il a occupé presque tous les postes du vaisseau et peu se vanter de le connaître mieux que quiconque. C’est un homme effacé mais qui sait mener son petit monde efficacement lors des coups durs. 

 

Le Sémiramis n’est qu’un des nombreux bâtiments de ce genre. Ils sillonnent les mers du globe entre les différents archipels afin de commercer et/ou de se vendre au plus offrant. Les hommes qui s’engagent sur ce genre de navire viennent de tous horizons. On y trouve aussi bien des érudits et des scientifiques, que des ouvriers et des techniciens, des mercenaires que des nobles sans le sou. Ces hommes sont réunis pour une raison, leur goût pour l’aventure. 

 



le Sémiramis

Le Sémiramis flottait lentement dans les eaux sombres de l’océan. L’imposant vaisseau ne paraissait nullement perturbé par les puissants courants marins qui régnaient dans la région. On racontait qu’ils pouvaient que, soudainement, de puissantes lames de fonds propulsent les équipages qui ne s’y attendaient pas sur les hauts fonds. Dans le meilleur des cas, ils s’éteignaient sur le coup, mais généralement, ces pauvres malheureux succombaient à une asphyxie longue et douloureuse. 

Mais le Sémiramis était un vieux sous-marin et son commandant le manoeuvrait depuis de nombreuses années. Ils avaient croisés ensemble dans de nombreux endroits bien plus périlleux que celui-là… 

 



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